A travers une série de 3 capsules vidéo, Florence ROCHE, Directrice de la Gestion Immobilière de Turgot, partage son expertise et son analyse du marché de l’immobilier résidentiel. Pour cette seconde capsule, elle revient sur la baisse actuelle des prix et démontre que les zones prime et le marché du luxe, qui constituent la très grande majorité du portefeuille de la SCI ViaGénérations, ont très bien résisté voire pris de la valeur !
Retrouvez la retranscription de la vidéo ci-dessous :
Une capsule vidéo dédiée au marché de l’immobilier résidentiel
Depuis le début de l’année, il est intéressant de constater que tous les territoires ne se comportent pas de la même manière en termes de baisse de prix. Au contraire, certains territoires ont pris de la valeur. C’est le cas des grandes villes comme Nice, qui observe une hausse de +1,8 % depuis le début de l’année. On peut également citer Montpellier à +0,7 % et Marseille à +0,5 %.
Qu’en est-il de Paris ?
Paris, qui est souvent scrutée, avec un prix moyen qui est passé largement en dessous des 10 000 € du mètre, est l’une des baisses les plus fortes : -1,8 % depuis le début de l’année. Cependant, quand on regarde Paris de manière plus micro, on constate qu’il y a plus de la moitié des arrondissements qui ont, encore aujourd’hui, un prix moyen supérieur à 10 000 € du mètre, avec même un pic à plus de 14 000 € en moyenne dans le 6e arrondissement.
Certains segments résistent-ils mieux ?
Les zones prime, le marché du luxe, résistent encore très bien aujourd’hui sur le marché résidentiel. Dans les villes où il y a finalement une clientèle qui a un pouvoir d’achat élevé et qui est moins dépendante de la hausse des intérêts, cette clientèle est toujours extrêmement présente et elle a le cash nécessaire pour réaliser des investissements.
Quel impact sur la SCI ViaGénérations ?
C’est d’ailleurs ce que nous constatons sur notre portefeuille de l’UC ViaGénérations puisque nous avons eu des premières reventes qui nous ont permis de nous confronter au marché. On constate bien que les biens prime que nous possédons, qui constituent la très grande majorité de notre portefeuille, se sont très bien vendus, à des rythmes rapides, et souvent à des valeurs qui étaient au-dessus de notre valeur d’expertise, alors que des biens d’un standing plus moyen connaissent effectivement des délais d’écoulement plus longs et sont souvent à des prix plus sujets à négociation.